Dans PMc tout est petit. Normal, puisque tout doit tenir sur un écran d’iPhone. Michael Merriam, qui en est le premier rédacteur en chef raconte dans The New Yorker qu’écrire pour ce support, est différent car « vous êtes conscient du fait que vous devez tourner souvent la page », une page de PMc contenant 150 mots (900 signes environ). Mais insiste-t-il, il est possible d’écrire de bons articles pour ce support, simplement, « il y a moins d’adverbes et d’adjectifs ».
Côté photos, l’iPhone offre une qualité d’image (en lecture) suffisamment satisfaisante pour que PMc puisse offrir des portfolios sur la mode.
Pour ceux qui douterait de l’intérêt de ce genre de magazine, Michael Merriam met en avant l’interactivité qu’il offre : si vous lisez une critique gastronomique sur votre téléphone, « il vous suffit d’appuyer sur un bouton et d’appeler » pour faire votre réservation.